La journée avait si mal commencé

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il y a 4 ans

Mardi, 14h15. Je suis agacé et en retard….une journée de m e r d e …une journée noire. Ce matin, les funérailles pitoyables et irréelles d’un ami d’e n f a n c e , et maintenant cette colère sourde qui s’empare de moi et qui semble ne plus vouloir me quitter. Sans parler de cette pluie fine insidieuse et sournoise qui me transperce jusqu’aux os.

La lourde porte en chêne massif se referme derrière moi dans un bruit de tonnerre. Elle me coupe du même coup du monde réel. Je suis aux greffes. Je décline comme à l’accoutumée mon identité, pour la forme, et je présente mon badge personnel au gradé de service. Puis je réclame une clé de casier pour déposer mes effets personnels et un peu de cette rage qui bouillonne toujours en moi. Je pose alors mon sac sur le chariot à rayons X et je passe à mon tour sous le portique à détecteur de métaux. Comme d’habitude, “le bipper” du portique carillonne, mais cette fois je refuse de retirer la ceinture de mon jean. C’est sans doute le privilège de la routine ou de ma mauvaise humeur du moment. Je récupère au passage l’alarme portative et les clefs de la salle de cours puis je me dirige vers ce premier rempart à la liberté.

Je viens donner des cours de physiques, depuis 3 ans déjà, moi qui le reste du temps enseigne les maths dans un lycée de banlieue. La première porte s’ouvre électroniquement, je m’avance vers la deuxième qui ne peut s’enclencher que lorsque la première est refermée. S’ensuivent alors toute une autre série de grilles et de portes qui grincent toutes de manière aussi inquiétante. Je pourrais reconnaître chacune d’elles à l’oreille, sans aucune difficulté. Me voila désormais au centre de ce microcosme méconnu et méprisé, de ce rebus de la société. On y croise aussi bien des meurtriers pervers et arrogants que des alcooliques notoires et perdus où bien de simples loosers. Comme à chaque fois, les odeurs agressent mes narines et le silence me fait mal aux oreilles…. décidément je ne m’y ferais jamais. A droite les condamnés, à gauche les prévenus. Je longe le dernier couloir quand je l’aperçois vers la mince fenêtre, appuyée contre le dernier sas.

Elle a la quarantaine, peut être moins. Elle porte un tailleur sombre strict, et un chemisier blanc éburnéen. Ses cheveux, d’un noir de jais, ondulés d’une longueur incroyable tombent en cascade sur ses épaules. Aucun doute possible, sa posture et son port de tête altier ne peuvent trahir sa profession : elle est avocate. Son attaché case confirme ma première impression. Je la salue poliment. Elle me fait un signe de tête discret, puis c’est le silence. Cependant nos regards finissent par se croiser et s’attirent inexorablement comme des aimants. Dès lors, à cet instant précis, je sais de manière présomptueuse et arrogante que je vais baiser avec elle. Elle, semble soudain mal à l’aise, elle prétexte une excuse de circonstance et s’enfuit dans le dédale sombre des couloirs d’une démarche gracieuse et légère. J’en profite au passage pour tenter de reconnaître son parfum et pour admirer sa croupe judicieusement galbée, ses jambes fuselées… des jambes qui n’en finissent pas. Les détenus arrivent enfin, leur contact me fait du bien il me permet de me ressourcer, de relativiser et d’en finir avec cette journée et cette hypocrisie de façade.

Vendredi 17h30 ma journée s’achève, le WE approche. Pourtant j’ai un besoin viscéral de caféine là, maintenant, tout de suite… un besoin de Junkie. Je m’installe au pub en face de mon Lycée et je commande un café. Je suis toujours dans mes pensées, les images défilent dans ma tête ignorant la pitié, comme dans un gigantesque Kaléidoscope. Le brouhaha de la salle me fait du bien et je commence à me détendre. Soudain, j’aperçois une silhouette à la caisse. Une femme règle sa consommation. Je la reconnais. Elle a troqué son tailleur sombre pour une tenue beaucoup plus décontractée, plus claire. Elle semble plus jeune et souriante aussi. Mais il faut faire vite… elle s’apprête à partir. Je m’avance vers elle et lui demande si elle me reconnait. Elle hésite quelques secondes puis me sourit. Je lui annonce alors tout simplement avec un sourire franc empreint d’envie que je souhaiterais la revoir.

Elle s’étonne de mon audace, s’apprête à rétorquer une remarque cinglante puis se ravise. Elle prend alors le journal sur le bar de la caisse, me le tend et me demande d’y noter mon numéro. Elle enfourne le journal dans son sac à main s’en va sans rien…. sans un au revoir.

Place Denis Duss…, « l’Alam… » Lim… 21h.

– Vous m’avez l’air bien songeuse, il vous manque déjà ?

Elle me regarde lointaine et répond.

– Pas exactement, il est plein de fausses promesses comme la plupart des hommes, il ne m’accorde que 5 minutes à la dérobée au détour d’une gare et puis repars vers son travail encore et toujours, j’ai plus vraiment envie de ça.

– Pourquoi rester avec lui alors ?

Elle ne répond pas mais me fixe, comme si elle s’était posée la question des milliers de fois.

Je pourrais lui raconter sa vie. Fille à papa d’un riche industriel des années 60 petite besogneuse dans un Lim… sans indulgence, déçue par son travail déçue par les hommes, déçue par la vie… elle méritait mieux que ça mais semble s’être fait happée par la routine et la noirceur de la société.

– Pourquoi m’avez-vous rappelé ?

– Vous n’avez pas la tête d’un satyre, et je ne voulais pas rester seule ce soir.

– Vous savez je peux être bien pire.

Un silence…. Je reprends :

– Vous savez qu’en général les femmes que je côtoie ne croisent jamais les jambes en ma présence ?

– Pour quelle raison ? C’est mal ?

– Pour me rester offerte et ainsi montrer envers moi leur soumission.

Son regard s’éclaire, devient plus dur mais elle manifeste un intérêt soudain.

– Vous êtes un « sadomaso »

– Pas exactement plutôt un propriétaire j’aime que les femmes se donnent à moi. Vous semblez connaitre ce milieu ?

– J’ai lu Histoire dO comme tout le monde mais je n’ai jamais compris pourquoi des femmes faisaient des choses si peu agréables et pourquoi elles s’humiliaient de la sorte.

La conversation prend une tournure nouvelle, je présume à cet instant précis d’un futur des plus prometteurs. Elle s’excuse alors et part aux toilettes, quand elle revient elle semble plus détendue, plus épanouie. Elle s’assoie à nouveau près de moi et nous reprenons la discussion. Elle souhaite en savoir plus sur moi mais je ne suis pas disposé à la satisfaire.

– Vous voyez, quand vous êtes venu la première fois vous croisiez les jambes et maintenant elles sont complètement décroisées.

– Vous l’avez remarqué ?

– Serais ce les prémices d’une relation complètement nouvelle ?

Nouveau blanc… elle ne répond pas.

– String ou culotte ?

Elle me regarde ahurie mais réponds sans se démonter.

– String

– Je souhaite le voir… la maintenant…tout de suite

– Mais vous êtes fou !!

– Si vous refusez je m’en vais.

Elle hésite, son cerveau semble réfléchir à toute vitesse, puis je la vois enfin se baisser se dandiner légèrement et remonter son tailleur vers ses hanches. Elle écarte légèrement les cuisses.

– Voila c’est fait !

– Je n’ai pas à me baisser pour le voir décalez vous.

La encore elle hésite à nouveau puis se positionne entre deux tables du bistrot. Un couple au fond de la salle semble observer le manège sans comprendre ce qui se passe vraiment. Moi je peux à cet instant admirer le fin tissu de soie rouge.

– Maintenant retirer le et donnez le moi !

– Mais c’est impossible, pas ici pas mainte….

– Un seul refus de votre part et vous n’entendrez plus jamais parler de moi… je vous laisse tranquille définitivement

Elle s’exécute immédiatement. Je prends un malin plaisir à l’observer, à entendre le délicieux bruit de l’élastique qui coulisse le long de ses cuisses fuselées et à admirer sa démarche gracieuse et terriblement féminine. Elle me donne le morceau de tissu et s’apprête à redescendre son tailleur le long de ses jambes.

-Non vous devez restez offerte, je veux voir la couronne des bas et la naissance des hanches.

Ses fesses sont désormais nues sur le sky de la banquette et à chaque mouvement font un bruit délicieux qui peut trahir n’importe quand sa condition.

– Maintenant écartez les cuisses que je juge de vos offrandes… je veux voir votre chatte.

Elle obtempère immédiatement, sans négocier, vaincue, heureuse. Je peux admirer dès lors une chatte luisante bien entretenue et très prometteuse. Je roule son string en boule et le dépose dans un cendrier j’écrase ma cigarette dessus et réclame au serveur l’addition. Il prend le cendrier avec un sourire discret et s’en va vers son office. Elle est toujours assise près de moi, les cuisses largement écartées…elle semble avoir oublié son indécence.

– Je ne sais pas pourquoi j’ai fait tout ça mais j’ai envie de vous revoir.

A mon tour désormais de profiter de la situation. J’écris au dos de la note : « Hotel la Cha… Sai…Mar… vendredi 21h » et glisse le fin message entre ses seins.

Mardi 19h30.

Téléphone… une voie douce, claire, soumise, ne souhaitant pas me déranger, demande si elle peut me parler. J’acquiesce. Elle me pose beaucoup de questions, pourtant je ne donne aucune réponse. Elle parle de son trouble de la semaine passée, ne comprend pas comment elle a pu faire tout cela. Elle voudrait me revoir avant la date prévue. Aucune réponse, juste un « Hôtel la Chapelle Saint Martin vendredi 21h ».

Vendredi 21h Téléphone. Elle me dit qu’elle est en face de l’hôtel, j’y suis, je la vois. Elle porte le même long manteau que la semaine précédente, des talons plus hauts mais moins fins. Un grand sac rouge. Des cheveux en liberté d’une longueur démesurée. Je lui propose alors d’aller dans la même brasserie que la dernière fois. Elle semble déçue elle aurait préféré monter à l’hôtel immédiatement. Je lui demande comment elle est habillée sous son manteau. Elle m’informe d’un ensemble tailleur couleur amande, en vichy, d’un chemisier blanc, d’une culotte blanche, des bas couleurs chair, et de l’absence de soutien gorge.

Je lui demande d’aller à la brasserie, de s’y préparer comme je le souhaite : Plus de chemisier, plus de culotte. Elle ressortira dans 15 minutes. Téléphonera.

21H15, ponctuelle la demoiselle. Je lui ordonne de se mettre sur le bord du trottoir, je prends un taxi. Je demande au taxi de prendre la dite demoiselle, puis de d’aller avenue Charles De Gaule, puis vers les grands écrans.

Une grande brasserie qui fait l’angle du boulevard. Nous deux, cote à cote… elle genoux joints, nous sommes “en vitrine”. Je lui intime l’ordre de laisser ses genoux à distance raisonnable, que les “mateurs” nombreux dans cette partie de Limoges, puissent avoir leur “Shoot” du soir. Elle me parle de sa vie, ses déceptions, ses rêves. Elle parle beaucoup, bavarde, je ne suis pas sa copine, elle le découvrira rapidement. Nous dînons d’un repas léger dans cette brasserie. 23H30. Taxi, direction La Chapelle Saint Martin. Un petit hôtel charmant, aux vastes chambres.

Devant, elle m’interroge du regard. Je lui réponds qu’elle peut cesser quand elle veut. Elle me suit. J’ai ma clé, j’ai pris cette chambre en fin d’après midi. Un “sac à malices” déposé lors de la prise des clés. Elle entre. Je dépose son par-dessus. Lui demande de fermer ses yeux. Je prends un long foulard de soie. Lui occulte les yeux. Je retire sa veste. Deux jolis seins bien lourds, bien pleins s’offrent à ma vue. La fermeture éclair de la jupe… le bouton….elle tombe à ses pieds. Je la place dos au lit, les pieds joints. Belle vision, belle femme de 38 ans, un peu gironde, pas de ventre, des fesses rondes des fesses à enculer, des mains fines, de longues jambes. Elle ne sait pas quoi faire de ses mains, comme toutes les ignorantes. Je l’informe qu’elle doit les poser le long des cuisses, les doigts sur la peau. Tenue droite, le menton haut, digne.

Je sors de mon sac ma badine. Elle me demande ce que je fais, lui répond que je prépare son avenir. Je me place face à elle, la badine en main. Je lui demande d’ouvrir la bouche. Je passe la badine sur ces lèvres, lui demande de découvrir l’objet avec ses lèvres. Lentement, du plat du cuir, qui cingle les chairs, au manche qui assure une bonne prise en main, elle découvre son premier objet de supplice.

Je lui demande ce que c’est. Elle répond : « petite cravache ». Je lui demande si elle sait à quoi cela pourrait bien nous servir, elle me répond : « à me faire mal ». Je caresse doucement ses contours, du cou, les épaules, le long des bras, les mains, les cuisses, les mollets, son dos, le rebondi de ses fesses, entre ses seins, son ventre. Du bout de la badine, je parcours le corps de la suppliciée. Elle montre de l’impatience. Elle commence à ne plus tenir en place. Premier coup… juste et fermement posé sur la fesse droite. Lentement, la petite marque carrée apparaît sur la peau. Elle frissonne. Je lui demande d’écarter les jambes. Pas largement, non, juste de quoi prendre une pose plus confortable. Je lui explique certaines règles de tenue : ne jamais joindre les jambes, laisser à l’autre l’accès à toute sa personne, sans opposition.

Elle oublie de poser ses mains le long du corps, second coup de badine : fesse gauche, équilibre des châtiments, seconde marque sur le postérieur, second carré rosé.

Je lui demande de faire un pas en avant. Elle s’exécute.

Désormais je la veux à genoux, droite, comme sur un prie-dieu. Elle est maintenant sur ses deux genoux. Du bout de la badine, je découvre son corps, mon doigt de cuir passe sur ses joues pâles, tourne autour de son cou, dessine son dos, prospecte son buste, caresse son ventre. Doucement je remonte à quelques millimètres de son sein droit, passe entre les deux poires, retourne effleurer le sein gauche. Tourne pour les lui dessiner, puis, du haut de chaque sein, une longue caresse droite, jusqu’au mamelon, désormais sortie et fier.

Le bout de ma badine se termine de deux carrés de cuir d’environ deux millimètres d’épaisseur, un carré de deux sur deux centimètres, et surtout ce bout est formé de deux parties de cuir égale en forme et en épaisseur. Du bout de la badine, je prends entre les deux lèvres de cuir ses mamelons, l’un après l’autre, je découvre ce point de sensibilité. Ils sont désormais dressés et sensibles.

Bruit métallique, elle me redemande encore ce que je fais, je ne réponds pas. Deux petites pinces de métal, pas très forte, non, juste de quoi agacer un mamelon timide et sans expérience. Je pose le premier, elle devient raide, puis, le second. Juste une petite douleur, elle est visiblement sensible de ce coté là. Je reprends mes caresses du bout de la badine. Je vais désormais vers son ventre, ses fesses, ses cuisses. De la pointe de cuir, je vais entre ses cuisses. Retour luisant du cuir. J’explore un peu plus, puis retire le suc de cette demoiselle, porte le tout à ses lèvres, elle ouvre la bouche, pas besoin de parler, elle nettoie l’ustensile.

Je lui demande d’ouvrir plus grand encore ses jambes, j’aperçois maintenant ses petites lèvres, un capuchon de clitoris assez conséquent, faisant penser à l’intérieur d’une rose, tout en plis et replis. Des petites lèvres qui ressortent d’environ un centimètre, qui se séparent lentement, séparation due à l’humidité ambiante. C’est beau, tout en langueur.

Les pinces ont une vis, pour pouvoir maîtriser la f o r c e de pression, je lui demande d’y porter un tour complet sur chacune d’elle. Elle prend le temps de découvrir l’objet, entre caresses et découverte, puis agit pour donner réponse à ma demande, une petite grimace aux lèvres. Le temps d’une pause est arrivé.

Je lui propose une boisson, une cigarette, presque un rituel d’échafaud. Elle se décontracte. Prend une position plus détendue. Sans mots, sans paroles. Une dizaines de minutes.

Je lui demande d’être debout, elle joint les deux pieds. Claquement coup sur coup. Pas besoin de parler, les deux pieds sont désormais à distance raisonnable.

De nouveaux bruits dans le sac à malices. Cette fois elle ne demande plus rien.

Elle est à trois mètres du lit, j’installe une grande serviette de bain.

Elle tourne la tête pour mieux entendre les bruits. Cherche à comprendre la prochaine tentation.

Doucement, je lui indique une position. Doucement elle se pose sur le lit, les fesses sur le bord. Les jambes grandes écartées, mains le long du corps. Je m’absente. Salle de bain, eau tiède. Rasoir. Mousse. Crème apaisante. Elle n’a pas bougé. J’humecte les poils de son sexe. Elle frissonne, me demande ce que je fais.

– Mademoiselle, je vous veux nue, plus nue qu’aucun homme ne vous as jamais vue nue. Pour être plus précis, vous allez perdre tous poils.

– Mais,

– Vous pouvez partir si vous le souhaiter.

– Non, non. Allez-y.

La mousse, dense, massage clinique, pas de sensualité, un travail. Passage de la lame dans les moindres recoins et plis de cette partie intime. Je découvre la beauté de sa chatte. Mes gestes restent distants. Pas de caresse. Pas d’attention. Juste un travail. L’anus bien lisse, jusqu’au pubis, plus un poil, c’est doux. Crème salvatrice. Elle se relève à ma demande, fait deux pas. Je lui autorise la découverte de son sexe lisse. Elle touche, doucement, sans oser y aller, puis rassurée, aventure sa main droite plus loin.

– Alors ?

– Cela me fait tout drôle, j’ai l’impression d’être encore plus nue.

– Je vous préfère ainsi offerte.

Du bout de la badine, quelques caresses. Je ferme la parenthèse, lui indique qu’elle trouvera une lettre sur la table de nuit, le petit déjeuner est commandé pour une personne à 7H00.

Je referme la porte, le sac à malices dans la main.

La lettre.

“Mademoiselle,

Désormais je ne tolérerais plus aucun poils sur votre pubis, vous devrez toujours être aussi lisse que ce soir, pour entretenir cette douceur, voici l’adresse d’un institut de beauté qui pratique avec bienveillance les épilations intégrales, vous laisserez pousser vos poils pendant trois semaines, puis prendrez rendez-vous à cette adresse , Une fois votre devoir accomplis, la semaine prochaine seulement, vous serez autorisée à me téléphoner.

Le Pont du Diable……Anz…. Gorges de la Creu ….. 46,26619° de latitude Nord et 1,86326° de longitude Est…. 28 juillet…. 19h. Un endroit maudit, oublié des hommes, oublié de Dieu. La légende locale affirme encore que c’est ici, sur ses terres brulées que Guy D’Aynac haut dignitaire de l’Ordre du Temple et Pierre de Sivrey, Grand Sénéchal auraient été exécutés au lendemain du 13 octobre 1307 à la demande de Philippe IV le Bel. Aujourd’hui encore, les rumeurs les plus folles circulent bon train sur ce site abandonné où flotte toujours selon les autochtones des miasmes maléfiques et où la boussole s’affole sans raison comme possédée par des f o r c e s occultes. C’est dans ce lieu chargé en histoire tragique qu’elle devait me rejoindre.

19h05 la voila qui arrive. Cinq minutes de retard…elle ne le sait pas encore mais elle me le paiera très bientôt. Est-ce mon imagination qui me joue des tours ? Est-ce la majesté du lieu qui agit sur moi comme sur tous ces gogos, mais elle semble avoir changée. Elle semble beaucoup plus jeune, beaucoup plus chienne. Elle rentre timidement dans ma voiture et me salue avec son sourire irrésistible bourré de charme. Elle attend de moi une conversation, j’attends d’elle des silences. J’ai droit une fois de plus à sa vie, ses petits malheurs d’avocate, et bien d’autres banalités. Je reste peu loquace. A un moment, certainement judicieusement calculé de sa part, elle me glisse à l’oreille que l’amant est mis au rayon des souvenirs. J’en suis ravie pour elle. Elle s’étonne de mon manque d’intérêts je l’informe de mon statut.

Je lui demande alors de me sucer sans préavis.

Un instant surprise et déstabilisée elle s’exécute sans rechigner. Elle fait coulisser sa bouche le long de ma hampe brûlante et turgescente. Je plaque ma main derrière sa nuque pour la f o r c e r à m’emboucher complètement. Je sais qu’elle n’aime pas vraiment ça. Je joue avec elle pour tester ses limites, évaluer ses résistances.

-Appliquez vous un peu ! Désormais, à chacune de nos rencontres, vous devrez me saluer de la sorte.

-Oui Monsieur !

Elle acquiesce et se concentre à nouveau sur sa tache. Je suis tellement fier d’elle. Que de chemin parcouru depuis notre première rencontre ! Que de progrès et d’efforts fournis ces dernières semaines. Elle semble avoir pris son rythme elle suce désormais avec délectation et application s’attardant sur le méat en traçant des cercles concentriques autour du gland. Je la repousse doucement la sens frustrée et lui demande de sortir du véhicule.

-Appuyez vous sur le capot de la voiture bras et jambes légèrement écartés.

Elle obtempère. Je passe derrière elle et l’observe sans un mot. Ne pas pouvoir jauger mon regard est pour elle une t o r t u r e ne pas pouvoir entendre ma voix un supplice. Première claque sur les fesses cinglante sans douceur.

-Les fesses plus cambrées ! le cul arrogant offert. Elle rectifie immédiatement sa position.

Elle porte un corset rouge magnifique très fin brodé très tendance à travers lequel dardent ses deux petits renflements érectiles comme des torpilles. Ses aréoles brunes sont elles maquillées ? Je vérifierais plus tard. Une jupette minimalise assortie : elle est sublime. Je me plaque contre elle, mets ma main en coupe entre ses cuisses. Elle ne porte pas de culotte comme prévu. J’inspecte sa chatte, glabre et douce puis son cul lisse également je présente un doigt à l’entrée et observe son regard… elle semble inquiète.

– J’ai un cadeau pour vous.

– Vraiment ? pourtant je ne le mérite pas.

Cependant ses yeux trahissent ses paroles ils me regardent amoureusement curieux et plein de gratitude. Je lui demande de fermer les yeux quelques instants et m’avance vers le coffre de la voiture. Je me poste ensuite derrière elle puis j’écarte délicatement sa crinière brune pour accrocher à son cou son collier. Un collier en métal tressé très large très froid relié à une petite laisse elle aussi métallique. Le collier se termine par un petit cadenas sur lequel trône un triangle symbole de la femme avec à l’intérieur un O signe géométrique parfait symbole SM par excellence.

A cet instant prévu… je la veux chienne. Je lui laisse quelques instant pour découvrir son nouveau jouet, pour l’apprivoiser se familiariser avec lui. Mon regard se durcit alors irrémédiablement presque malgré moi.

-A quatre pattes ! Elle ne bouge pas, elle semble ailleurs.

-A quatre pattes immédiatement : seconde claque sur les fesses plus forte.

Elle s’exécute. Sa jupe remonte sur ses reins dévoilant une croupe callipyge rebondie délicieusement fendue. Après quelques instants de surprise elle a réussi à prendre ses marques et commence d’elle-même à avancer pour percevoir les sensations. Elle est pile à hauteur de ma queue… résister…je dois absolument résister ne pas me laisser aller. Je l’emmène ainsi à l’écart dans un endroit ombragé vers une immense stèle en pierre brute. Avec un peu d’imagination on peut deviner en son centre une croix pattée presque complètement effacée par le temps, par les siècles et par les éléments. Je lui demande :

– Que voyez-vous ? Un silence puis.

-On dirait une croix… une croix templière.

-Vous connaissez la légende des templiers ?

– Uniquement ce que tout le monde sait… le fameux trésor des templiers… je sais également que sur ordre de Philippe le Bel ils ont tous été arrêté au début du XIV siècle.

– A votre avis pourquoi ?

– Je crois savoir qu’ils ont été accusés à tort de Conspiration contre le roi, d’Hérésie et de Sodomie….Nouveau blanc. Elle me regarde, détourne la tête, me regarde à nouveau : elle vient de comprendre… je ne l’ai pas faite venir ici par hasard… pour parfaire sa culture historique… mon but était précis insidieux et sans appel.

– Savez-vous pourquoi vous êtes ici ?

-Oui je crois !

-Oui qui ?

-Oui monsieur

– Je vous écoute, je souhaite vous l’entendre dire.

Elle hésite elle a peur vraisemblablement de me donner des idées au cas ou je n’aurais pas prévu le scénario qu’elle s’apprête à avancer. Je me délecte de son embarras… je la provoque.

Elle bafouille et finit par susurrer :

– Vous m’avez fait venir ici parce que vous allez me sodomiser

-Vous pouvez faire mieux que ça !, faites un effort ! Nouveau silence…

– Vous m’avez fait venir ici parce que vous allez m’enculer !

-Et pour quelle raison ?

Parce que je suis votre chienne…parce que je le mérite… parce que je suis une petite enculée.

Je m’avance alors vers elle et je la prends dans mes bras amoureusement avant de passer à la suite.

Désormais, si vous prononcer le moindre mot, ce sera uniquement celui-ci Stop. Si la douleur est trop v i o l ente Stop, si vous ne vous sentez pas bien Stop, aucun autre mot, le silence. Est-ce bien compris ?

– Oui.

– Répétez-le ?

– Si j’ai trop mal je dis stop, si je ne me sens pas bien, je dis stop, sinon, je dois me taire.

– Bien.

Leçon de maintiens.

– Mademoiselle, j’ai remarqué que vous ne teniez pas bien droit votre dos, ce qui rend disgracieux le rebondi de votre postérieur, ce qui manque de bien creuser vos reins. Tenez-vous droite !

Elle s’exécute sans difficulté.

– Creusez désormais vos reins !

Elle creuse ses reins, cul orgueilleux, offert. J’attends le moment de faiblesse, dans une position si tendue, la pauvresse risque fort de ne pas tenir des lustres. Le moment de la reddition s’annonce, je la sens se tendre avec f o r c e , une lutte entre son corps et sa volonté, le corps à souvent des faiblesses. Le moment attendu arrive. Deux coups de fouet sec, précis, dans le creux des reins, elle retend à nouveau son corps. Les zébrures commencent à apparaître sur sa peau bronzée, de longues marques rouges. Son dos commence à fléchir, claquements sur ses épaules pour les 5 minutes de retard. Les stigmates s’affichent en traits le long de sa colonne. Elle est plus raide que jamais, droite comme un i, la croupe saillante. Belle.

– Repos.

Son corps imprime lentement l’ordre, ses reins moins creusés, bien plus que lors de son arrivée, le dos s’incline légèrement, bien moins que lors de la première pose. L’éducation, un art. Je la détache. Pause de suppliciée, cigarette, boissons. Silence.

– Debout !

– Oui.

Avec les lanières je la caresse doucement, j’examine les traces faites plutôt. Des volutes rougeoyantes, de longues et saillantes nervures. Je prends des pinces, poses celle-ci sur ces mamelons dardés. Elle grimace, le pincement est plus important que la première fois, pas trop encore, je sais qu’elle est fragile et sensible de ses pointes.

J’impose une posture simple, je regarde cette statue. Son visage prend petit à petit une lumière, un léger sourire de satisfaction vient dessiner plus haut ses lèvres. Elle ne bouge pas, depuis 10 bonnes minutes maintenant. Je contemple. Petite pause. Rite d’une suppliciée. Les pinces toujours bien en place, je pose des poids dessus, son visage se transforme de nouveau en image de souffrance, de crainte. Juste deux petits poids. Elle est désormais debout, je l’éduque comme une petite fille de la haute bourgeoisie, je lui apprends à marcher correctement avec ses talons hauts, mettre un pied devant l’autre, non pas comme les mannequins, juste un pied dans l’axe de celui en arrière. Des petits pas juste posés sur la pointe du pied, venant délicatement asseoir le talon pas encore totalement aiguille. La stèle est assez grande pour qu’elle puisse faire une petite douzaine de pas, avant d’être en face d’un chêne centenaire. Elle apprend vite, sa démarche a désormais des allures féminines et gracieuses.

Elle se pose devant moi. Je lui mets des bracelets de cuir, poignets, chevilles. Elle se pose sur les genoux, viens mettre son buste en contact avec le sol, laisse sa tête sur sa joue. Je lui écarte les jambes, ses chevilles viennent désormais rejoindre ses poignets, contorsions. Je lie les poignets aux chevilles, j’écarte un peu plus le tout, les chevilles écartées désormais par une barre appropriée.

Dans cette très inconfortable position, toujours sans mot, c’est agréable ce silence, je la laisse trouver ses repères avant de l’enculer. Une noix de lubrifiant déposée sur son cul. Le Plug en mains, une petite taille, le premier d’une longue série, destiné à élargir les voies étroites. Doucement, avec fermeté l’objet avance, parfois, ses chairs se tendent. Petit aller et retour, toujours pour aller plus loin. La base du Plug n’est plus très loin, j’entends son souffle plus fort, de temps à autre un gémissement plus fort, parfois une contraction plus importante. Plus fermement, je pousse sur l’outil à dilater, celui-ci ne dois pas atteindre les 4cm de diamètre, l’équivalent d’une queue de mâle bien bâtis.

Le point le plus large passe difficilement, puis, happé par ce cul désormais affaibli, le Plug vissé au fond d’elle. Elle bouge un peu, démontrant là un inconfort important, je me demande si le Plug est plus inconfortable que la position. Je détache ses poignets, lui demande de ce mettre sur les bras, elle reste ainsi, la tête posée sur la pierre froide, le cul en l’air offert vaincu…….. maintenant les choses sérieuses vont pouvoir commencer.

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